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ville de vanves - Page 521

  • FETE DE LA TOUSSAINT A VANVES

    VANVES AU QUOTIDIEN 

    VOUS SOUHAITE

    UNE BONNE FETE DE

    DE LA TOUSSAINT

    Et vous donne

    rendez-vous

     LUNDI 4 NOVEMBRE 

  • LE CAFE DES AIDANTS A VANVES POUR LES AIDER A DECONNECTER POUR UN MOMENT DE REPIT ET D’ECHANGES

    La semaine dernière a été marquée par la présentation d’un plan pour «agir en faveur des aidants» par le premier mInistre, et la secrétaire d’Etat Sophie Cluzel. Cette vanvéenne a donné de multiples interviews dans les média pour présenter ses «solutions de répit pour que les proches aidants puissent souffler».  

    En France, plusieurs millions de personnes (8,3 Milions) s’occupent au quotidien d’un proche en perte d’autonomie pour des raisons liées à l’âge, un handicap, une maladie chronique ou invalidante. «Être aidant, cela grignote le temps quotidien, bouscule parfois la vie professionnelle» a déclaré Sophie Cluzel sur France inter, en soulignant qu'ils sont «un pilier de cette société fraternelle, bienveillante, solidaire. L'État doit pouvoir les accompagner et prendre soin de leur santé» a-t-elle poursuivi, annonçant la création d'une plateforme de répit pour leur donner des solutions d'accueil pour leur proche. « Les aidants nous demandent de pouvoir souffler, pouvoir prendre un week-end» en évoquant des places dans des maisons de répit, dans des établissements adaptés ou encore la solution du «relayage», où un professionnel passe plusieurs jours consécutifs au domicile de la personne aidée, ce qui permet à son proche de prendre du repos. «Tout le monde n'a pas besoin de répit, n'est pas dans une intensité d'aide», a-t-elle ajouté, évoquant notamment les aidants qui ont une vie professionnelle, et  la création à partir d'octobre 2020  d’un congé indemnisé de trois mois, fractionnables. Le café des Aidants est un des dispositifs qui les aide à déconnecter un moment comme à Vanves.

    A Vanves, il se déroule un mardi par mois se déroule à la Crêperie La Girafe, un café animé par des professionnels, à l’initiative de la Fondation Odilon Lannelogue qui l’a créé et lancé en 2013/14. A l’époque de ses débuts, il se tenait au Bristol. Il s’agit d’un temps convivial d’échanges et d’informations avec un théme à chaque : « Quels clés pour maintenir une communication avec lui/Elle »,  le 5 Novembre, « les fêtes approchent, La famille et les amis, un soutien our moi ? » le 3 Décembre. «Les proches qui accompagnent une personne âgée ou handicapées ont besoin de soutien. Il leur est essentiel de sortir de la solitude, de s’informer, de s’exprimer, d’être écoutés» explique t-on à l’Association Française des Aidants  qui a initié un réseau national «Les cafés des Aidants» ouvert pour eux. Vanves en fait partie avec Antony, Colombes, Gennevilliers dans les Hauts de Seine. «Une fois par mois environ, tous les aidants familiaux, conjoints, enfants, amis proches, sont les bienvenues pour des temps d’échanges et de partages d’expériences dans un espace convivial. Les « cafés des Aidants » sont aussi des occasions de se rencontrer pour obtenir des conseils, des informations ou des explications sur les dispositifs d’accompagnement locaux et nationaux, les démarches à accomplir, les différents lieux-ressources … La rencontre, qui dure autour d’une heure et demie, est co-animée par un psychologue et un travailleur social. Elle débute par une conférence-débat sur des thèmes choisis à l’avance. À l'issue de ces interventions, un temps d'échange est prévu entre les aidants et avec les professionnels ».

  • LORSQUE LE PATRON DU PETIT VANVES RACONTE SA PASSION DE LA CUISINE

    Sur Google, lorsqu ‘on recherche dex informations sur le restaurant Le Petit Vanves et son patron Jean Pierre Anselme, on tombe sur  un site web gourmand  qui titrait : « Vanves : le p’tit bonheur chez Jean-Pierre ». Son auteur Dominique Brugière, gourmand/gourmet fureteur, parle d’une pépite à Vanvénne. «Jean-Pierre Anselem a fait de son Petit Vanves une table d’amis. L’endroit est agréable, à deux pas de la Porte de Versailles, le patron chaleureux, la cuisine à la fois bistrotière et gastronomique, le service souriant et efficace, les vins gouleyants et suaves. Bref, on est là, entre soi et soi, presque comme à la maison … et même en mieux!»écrit

    Mais savait il qu’il a écrit un livre (à compte d’auteur) : «La cerise sur le cuistot -Merci de continuer » aidé par Armelle de Valom et mis en page par Ivan Locle : Souvenir d’enfant avec ce parfum de cuisine familiale vécu au cœur de Parisdans ce quartier des Halles grâce à sa grand mére, Hermance, puis sa mére, Francine, « ses deux professeurs de cuisine », cette dernière lui ayant offert un classeur de recettes  avec petit mot « merci de continuer ». Puis son choix, lorsque la voix de l’apprentisage s’ouvre à lui, d’être cuisinier, après avoir été tenté par l’école Boulle et le métier d’ébéniste : «Comment aurais-je pu faire autre chose que ce métier là ? ».  Il va panser ses blessures de jeunesse (un pére absent) dans les marmites et le cuisines des grands restaurants parisiens, «auprès de chefs renommés qui vont me servir de modéles, et pas seulement pour la cuisine ! » : Chez Denis, avec le célébre patissier Francis Vandenhende, Taillevent  mené alors par le chef Claude Deligne,  avec ce turbot au soufflet d’asperges qui a marqué sa famille, le restaurant de Jean Marais, Le Chamarré,  «Le Valentino » avec Claudio Monterverdi… «La cuisine fait partie de ma vie, comme un membre. De haut en bas, je suis dedans » confie t-il dans ce livre où il raconte qu’il a, enfin, ouvert, voilà dix ans son restaurant à Vanves « pour être conmme chez soi » sur lequel il a travaillé pendant un an, entièrement refait à sa façon : «L acuisine est à l’identique de la décotation, franche, conhérente, avec des références connues. Bienvenue chez moi ! ».  Avec Yoan aux fourneaux depuis dix ans